Capitaine La Gaule Le général

Homme d'age mur en costume, belle prestence. Au cote d'une femme blonde en robe blanche qui souligne
Homme d'age mur en costume, belle prestence. Au cote d'une femme blonde en robe blanche qui souligne

Claude vient de rentrer d’une mission de deux mois au Mali. Le général Diguerions qui supervisa la mission, tient un débriefing avec Claude et son équipe dans l’une des salles de la base. La rétrospective touche à sa fin.

— Messieurs vous pouvez disposer. Et veuillez-vous rendre à la Capitainerie pour vos plannings avant de quitter la base.

Les hommes se lèvent et quittent la salle.

— Claude !

— Oui mon général.

— Suivez-moi à mon bureau. Je dois m’entretenir avec vous d’un sujet de la plus haute importance.

— A vos ordres mon général.

Claude suit le général dans les couloirs de la caserne. Vu son air grave, Claude imagine qu’une nouvelle mission très sensible va encore l’envoyer à l’autre bout du monde. Les deux hommes entrent dans le bureau.

— Claude ce qui va se dire entre ces murs, ne doit pas en sortir.

— Général, avez-vous jamais eu le moindre soupçon de fuites concernant nos opérations ?

— Jamais Claude, jamais. Mais, voyez-vous, le sujet que je souhaite aborder avec vous ne concerne pas nos vies militaires, mais nos vies de civiles.

— Je vous écoute.

— Je vous sers un verre de whisky ?

— Non merci mon général.

— Je vous en sers un quand même. A vous de voir si vous devez le boire ou non. Vous fréquentez depuis peu un établissement. Le Maka.

— On ne peut rien vous cacher. Ecoutez mon général, je vous assure que cela ne compromet en rien mon intégrité ou mes capacités pour le service.

— Du calme Claude. Vous n’êtes pas devant un tribunal militaire. Votre vie sexuelle ne regarde que vous. Et nos services secrets.

— De quoi parlons-nous alors mon général ?

—J’y viens Claude, j’y viens. Vous savez ce qui m’est arrivé en Afghanistan il y a dix ans ?

— Oui mon général. Une putain de mine anti-char.

— Six mois d’hospitalisation. Un an de rééducation. Et mon service trois pièces resté sur cette saloperie de route près de Kaboul.

— Claude regarde ses pieds.

— Oui mon général. Putain de route !

— Ma femme et moi avions une vie sexuelle épanouie. Du jour au lendemain plus rien ! Nathalie a toujours été dévoué. Elle m’a soutenue jours après jours pour passer cette épreuve. Et sans elle j’aurais décroché. Je ne serais pas ici à discuter avec vous. Je lui dois beaucoup. Mais voyez-vous Claude, un homme émasculé ne peut pas satisfaire les besoins élémentaires qu’une femme attends de son mari. L’esprit est fort, la chair beaucoup moins. Une foi rétablie, j’ai senti ma femme se replier sur elle-même. Elle qui était si joyeuse avant, devenait triste, silencieuse et terne. Voir ma femme sombrer dans la déprime m’attristait. Je m’en suis confié à des amis très proche. Un parmi eux connait très bien M’amie. Il m’a conseillé de la rencontrer avec ma femme. Ce que nous fîmes. La discussion fut franche sans détours. A l’issu de cette rencontre nous avons convenu que si ma femme souhaitait venir au Maka pour entretenir la flame de sa sexualité, elle le pourrait sans entraves. A la condition que ce qui se passe au Maka reste au Maka. M’amie m’a assuré et rassuré sur le sérieux de son établissement. Et de mon côté, je m’engageais à ne jamais poser de questions sur ce qui se passe au Maka pour ne pas perturber le nouvel équilibre psychologique qui allez s’installer dans notre relation de couple. Le Maka devenait le jardin secret de ma femme. Et des fleurs y ont éclose. En quelques mois, son sourire illuminait de nouveau son visage. Dans notre lit, elle s’endormait de nouveau dans mes bras. Croyez-moi Claude, Il n’y a pas de meilleures sensations que c’elle de s’endormir dans les bras de c’elle que l’on aime.

— Je suis d’accord mon général.

— Aussi Claude vous imaginez ma surprise lorsque ma femme au retour de sa dernière sortie a commencé à me parler de sa soirée au Maka. En huit ans, cela n’était jamais arrivé. Pour tout vous dire, le sujet de la conversation vous concernait.

— Je ne me souviens pas avoir vu votre femme.

— C’est ce qu’elle m’a dit. Vous étiez trop occupé à regarder ailleurs ‘’Capitaine’’. Cependant toutes les femmes n’avaient d’yeux que pour vous. Bref, ce qui préoccupait ma femme, à son retour à la maison, était de savoir si vous étiez apte à garder secret sa présence chez M’amie. Son inquiétude concernait les répercussions sur notre réputation si l’information venait à circuler ici ou ailleurs.-— Je comprends mon général. Vous pouvez rassurer votre femme. Rien ni personne ne me fera dire ce qui ne doit pas être révélé.

— Je l’ai déjà fait Claude. Vous pouvez l’imaginer. Nous sommes des militaires. Et nous faisons corps avec la grande muette. Nous servons avec honneur. Si je m’ouvre à vous Claude c’est surtout pour vous épargnez la drôle de surprise de voir ma femme là-bas.

— Me voilà informé. Et il m’en faut bien plus pour me surprendre aujourd’hui. J’apprécie votre sollicitude à mon égard et je mesure à quel point vous aimez votre femme. Vous pouvez compter sur moi mon général.

— Vous êtes un homme intelligent Claude. J’ai besoin de nouvelle matière grise dans mon équipe d’officiers supérieurs. Nous aurons l’occasion d’en reparler.

— A votre disposition mon général.

— Parfait Claude. Vous pouvez disposer. Dommage pour le whisky. Un pur malt de vingt ans d’âge.

— Une prochaine fois peut-être. Au revoir mon général.

Claude quitte le bureau du général et marche dans les couloirs de la caserne en direction du parking. Il se repasse le film de cet entretien. Il n’en revient pas. Il a parcouru le monde pour des missions sensibles. Il a perdu des amis sur des terres étrangères. Il a pris des vies aussi. Beaucoup. Et pourtant, jamais il n’avait ressenti une telle proximité avec un général. - Se pourrait-il qu’une bite utilisée au bon endroit soit plus importante que de risquer sa vie pour sa patrie ? - Claude se convainc que dans son cas il faut les deux pour accéder à de nouvelles sphères d’influences. - C’est dingue comme ma rencontre avec Eva change ma façon de voir le monde. Le jeu des hommes est bien étrange. -

Le visage d’Eva lui revient à l’esprit. La douceur de sa peau. Le parfum de son corps et ses courbes exquises. Sa chevelure noire envoûtante. Claude arrive à sa voiture. Il sort son téléphone.

— Hello ma belle.

— Mon dieu Claude tu es rentré ?

— Oui, à l’instant.

— J’étais morte d’inquiétude.

— Je suis là ma belle, je suis là. J’avais envie d’entendre le son de ta voix.

— Viens vite Claude ! Tu m’as tellement manqué.

— J’arrive.

Claude démarre. Il ne passe pas chez lui pour se changer. Il fonce directement chez Eva. Elle lui ouvre la porte et lui saute au coup. Il la prend dans ses bras. Les pieds d’Eva ne touchent plus le sol. Ils rentrent dans l’appartement en s’embrassant avec fougue. Ils se déshabillent rapidement et entremêlent leurs corps avec passion. Ils font l’amour comme seul ceux qui ont un lien puissant le font. Le souffle haletant mêler de regards profonds. L’espace d’un instant, ils ne font plus qu’un. Ils jouissent sans retenus s’abandonnant l’un à l’autre. Le feu du désir s’apaise. Leurs gestes se font plus lents. Ils se caressent tendrement en laissant leurs mains allez et venir sur leurs peaux nues.

— Claude.

— Oui ma belle.

— Tu es trop canon en uniforme.

Claude éclate de rire.

— C'est bon de te revoir ma belle.

— J’ai faim. Pas toi ?

— On se fait une pizza ? Ça fait deux mois que je pense à une bonne grosse pizza.

— Bonne idée. Allez remet tes petites fesses dans ton uniforme beau gosse.

— Ok mais avant le restaurant on fait un arrêt chez moi pour que je me change

— Tu sais que je ne suis jamais rentrée chez toi.

— Oui,. Alors promis se soir on dort chez moi. Mais tu visites ma maison après la pizza. Quand une fille rentre, elle s’enfuit dans la minute.

— Mince ! Il y a quoi chez toi pour faire peur aux dames comme ça ?

— Bah, je n’en sais rien. Mais je n’ai pas envie de te courir après, le ventre vide, pour le savoir.

Eva rigole ce qui fait sourire Claude. Une demi-heure plus tard Eva et Claude sont au restaurant. Les pizzas sont sur la table. Leurs fumets de parfums chauds de tomates, d’olives, d’ail, de charcuterie et de pain embaument l’air.

— J’ai une faim de loup !

— Moi aussi. Une bonne partie de jambes en l’air sa ouvre l’appétit. Bon appétit Capitaine.’’

Claude rit.

— Bon appétit ma belle. A propos de partie de jambes en l’air, tu ne devineras jamais la conversation que j’ai eu avec mon général aujourd’hui.

— Hummm, il t’a proposé une petite sodomie dans son bureau ?

Claude éclate de rire.

— T’es bête. Non, mais tu es dans le thème.

— Sérieux ? Raconte !

— Il connaît M’amie et le Maka.

— Noooon ?! Attends ! Laisse-moi deviner si je le connais. Un général au Maka. Il est grand ?

— Tu fais fausse route. Il n’a jamais mis les pieds au club. Sa femme en revanche… Et depuis pas mal de temps.

— Mince ! Je la connais sûrement. Mais une femme de général. Je ne vois pas. Et pourquoi elle vient sans lui ?

— Il a perdu ses couilles sur une mine en Afghanistan.

— Mince alors ! Il n’a plu de joujou entre les jambes ?

— Plus rien ! Et pour compenser sa femme s’éclate au Maka. Elle m’a reconnu lors de ma première soirée là-bas. Mais je ne l’ai pas vu.

— Elle a dû se faire discrète pour t’éviter.

— Et elle a réussie. Le général voulait s’assurer de ma discrétion. Et je crois que je l’ai convaincu. Cependant, saura-t ’il rassurer sa femme ? D’après ce que j’ai compris elle est vraiment inquiète de la situation.

— Elle a peur que tu racontes ses petits secrets à tes potes de régiment.

— Possible.

— Elle est comment ?

— Grande. Un mètre soixante-quinze environ. Blonde, coupe à la garçonne.Avec une Silouette fine. Plutôt bien conservée pour ses cinquante ans.

— Les yeux bleus ?

— Oui. Enfin je crois.

— Pile et face !

— Pile ou face ?

— Non ! Pile ET face. C’est son pseudo au Maka. Pile et face. Il n’y a pas de ‘’ou’’ mais un ‘’et’’.

— Ah bon. Mais pourquoi ?

— Madame est gourmande. Une bite devant et une derrière. En même temps.

— Ah ! Ok ! je vois, je vois. Une double pénétration.

— Il y a débat sur l’appellation exact de cette pratique. Oh la la. La pauvre je la comprend. Un mari qui ne peut plu baiser…

— J’imagine que cela créait comme un vide.

— Oui, absolument. En tout cas elle est très discrète. Tu vois je ne connais rien de sa vie malgré nos multiples rencontres au club. Raison pour laquelle elle s’inquiète sur ta présence au Maka.

— Oui cela me gêne aussi qu’elle puisse se faire du mauvais sang à cause de moi.

— La situation est embarrassante. Est-ce que tu me permets d’appeler M’amie pour l’informer de cette histoire ?

— Oui bien sûr. Sans problème.

Eva passe une demi-heure au téléphone avec M’amie pour lui expliquer les détails de la situation. Claude regarde Eva discuter. Il apprécie l’intonation de sa voix. Son sourire. Ses gestes féminins. Élégants et gracieux.

— M’amie appel Nathalie.

— Bien. La situation va finir par s’arranger.

— Elle me rappel dans la foulée. Il y a une soirée de prévue samedi prochain sur le thème ‘’Anges et démons’’. M’amie m’a demandée si tu voulais venir.

— Si tu y vas, oui bien sûr.

— Super ! Tu seras quoi ? Un ange ou un démon ?

— Sans hésiter. Un démon. Et toi ?

— Hummm, je ne sais pas encore. Peut-être les deux. Pourquoi pas ?

— Bonne idée. J’adore !

Le téléphone d’Eva sonne.

— Eva c’est M’amie.

— Claude est-il encore avec toi ?

— Oui il est en face de moi.

— Passe le moi s’il te plaît.

Eva tend son téléphone à Claude. Qui le prend sans hésitation.

— Bonsoir M’amie.

— Bonsoir Claude. Que d’émotions vous faites à ces dames, mon petit.

— J’en suis navré. C’est bien malgré moi.

— Je sais mon petit. J’ai discuté avec Nathalie. Tout va rentrer dans l’ordre. Claude, la soirée ‘’Anges et démons’’ vous venez, n’est-ce pas ?

— Oui bien sûr.

— A la bonne heure. Vous avez de quoi noter un numéro de téléphone ?

— Un moment je demande à Eva.

— Ha ! Les hommes. Vous vous moquez de nos sacs à mains, mais vous êtes bien content de les trouver de temps en temps.

— Oui M’amie, sans vous nous serions perdus.

— Ho que oui.

— Voila ! j’ai de quoi noter. Je vous écoute.

Claude note le numéro de téléphone de Nathalie et promet de l’appeler aussitôt. M’amie demande de transmettre ses amitiés à Eva qui une fois de plus l’aide à résoudre une situation délicate.

Claude compose le numéro de Nathalie.

— Bonsoir Nathalie. C’est Claude. Je vous appel de la part de M’amie.

— Bonsoir Claude. J’attendais votre appel. Vous savez que j’étais préoccupée par les amis que nous avons en communs.

— Oui votre mari m’en a informé. Je vous avoue être mal à l’aise aussi.

— Ne vous inquiétez plu Claude. Mes interrogations se sont dissipées.

— Vous me voyez soulagé de l’entendre.

— Claude, dites-moi. Participerez-vous à la prochaine soirée ?

— Oui bien sûr.

— J’y serais aussi. Pouvons-nous y aller ensemble ?

— Se sera avec plaisir Nathalei. Je passerais vous prendre dans la soirée. 21h00 vous convient ?

— Parfait mon ami ! A samedi donc.

— Oui à samedi. Bonne soirée Nathalie.

— Bye bye Claude.

Claude regarde Eva les yeux écarquillés.

— Si on m’avait dit qu’un jour j’accompagnerais la femme de mon général dans un club à partouze, je ne l’aurais jamais cru.

—Et bien capitaine. La vie nous réserve parfois de bonnes surprises.

— Cela ne te dérange pas que je sois accompagné par une autre femme ?

— Ne t’inquiète pas pour ça. Je ne serais pas seule non plu. Je vais piocher quelqu’un dans ma liste d’attente. Allez apollon on va chez toi. Je suis curieuse de découvrir ta tanière.’’

La voiture de Claude stop dans la rue d’un lotissement à la périphérie de la ville. Les maisons sont neuves. Elles sont toutes bâties selon le même modèle. Rectilignes. Un étage avec des fenêtres et des volets bruns acajou. Une toiture en tuiles ocres. Un petit jardin bordé de tuyas sépare la rue de la maison. Eva entre en suivant Claude qui allume la lumière de l’entrée. Il se déchausse et enfile une paire de pantoufle de type charentaise. Ce qui fait sourire Eva. Elle retire ses chaussures mais reste pieds nus.

— Viens suis moi je te fais visiter. Donc ici nous sommes dans l’entrée. Derrière cette porte des toilettes.

— Bon à savoir.

— Maintenant le séjour qui donne sur une cuisine américaine.

— Oh super ! Tu as une cheminée.

— Oui mais je ne l’utilise pas. Enfin pour le moment. Caché derrière le mur de la cheminée, il y a un escalier pour accéder à l’étage. Suis-moi. On arrive directement dans ma chambre. J’ai préféré faire un open space avec la salle de bain et les toilette en enfilades. Il n’y a donc pas de couloir.

— Bonne idée. Tu gagnes de l’espace.

— En redescendant je vais allumer la lumière d’extérieur. Il y a une petite terrasse avec un barbecue dehors.

— T’embête pas. On verra demain matin.

— Demain matin ? Tu ne te sauves pas en courant ?’’

Eva sourit. Ses lèvres et ses yeux dessinent des traits radieux qui font littéralement fondre le cœur de Claude.

— Si je ne te connaissais pas, je crois que je serais déjà dans un taxi.

— Sérieux ? Pourquoi ?

— Tu as déjà vu la série Dexter ?

— Mmm, non.

— Ah c’est vrai, il n’y a pas de TV chez toi.

— Pas vraiment utile pour moi.

— Donc ce charmant Dexter est un tueur en série.

— Hein ??

— Relaxe, laisse-moi t’expliquer. Dexter est un flic dans la scientifique. Son passe-temps favori est de tuer des méchants. Quand il trucide un méchant, il met du plastique partout pour ne pas laisser la moindre trace de son ‘’travail’’. Un peu comme chez toi.

— Hé ! Le plastique partout c’est pour la poussière. Quand je pars plusieurs semaines, voire plusieurs mois, j’emballe tout. C’est plus simple de ‘’déballer’’ que de tout dépoussiérer.

— Logique. Et tu n’as pas de plantes vertes parce qu’il n’y a personne pour les arroser quand tu pars.

— D’une part, mais c’est surtout que les plantes vertes je les apprécies plutôt en salade dans mon assiette.

Eva rigole.

— Hummm, il n’y a pas de photos non plu. Aucun objets personnels pour dire ‘’hé ! Ici c’est la maison de Claude’’.

— Ah oui, tu as raison. Ce détail ne m’a jamais traversé l’esprit.

— Bah les nanas quand elles débarquent ici, elles passent tout au radar. Et le radar d’une nana chez toi, c’est alerte rouge DEXTER !!

— Oookkkayyy. Il va falloir que j’achète une télé pour voir jusqu’où vont nos points en communs avec ce Dexter.

— Ah oui ! En même temps j’adore Dexter. Oh s’il te plaît on pourra faire les boutiques ensemble.

— C’est promis ma belle. On commence demain si tu veux.

— Super ! On pourra acheter une ou deux plantes aussi ?

— Oui, en même temps que la vinaigrette.

— Et puis on fait des photos ensemble et on en met un peu partout dans la maison.

— Programme validé.

— On fait l’amour ?

— Bonne idée.

Les deux amants s’étreignent dans le salon. Ils se déshabillent mutuellement. Eva entièrement nue s’agenouille et entreprend de sucer le sexe dur et tendu de Claude En même temps, elle sent le désir lui chauffer de plus en plus le bas ventre. Alors elle se met en position sur la table du salon en offrant sa croupe au regard de Claude qui finit par y plonger sa langue.

— Baise moi maintenant. Mais commence lentement s’il te plaît.

Enivrants, puissants, ces instants de baises intenses entre Eva et Claude, les transportent littéralement. Chaque coup de rein de Claude les rapprochent inexorablement de ce moment ou le temps s’arrête et l’univers se fige. Claude la retourne et replonge en elle. Dans cette position, le dos sur la table et les jambes en l’air en appuis sur le torse puissant de Claude, Eva peut poser ses doigts fins sur son clitoris gonflé qui réclame lui aussi son moment d’attention.

Eva sent que Claude va jouir et éjaculer en elle. Cette sensation l’excite davantage et amplifie son plaisir. Dans tout ce qu’il fait, Claude s’applique. Attentif au corps d’Eva, il sent son orgasme venir. Voila ! Elle jouit. L’orgasme d’Eva déclenche instantanément son plaisir à lui aussi. Il lâche son sperme dans la chaleur humide du vagin convulsant de sa maîtresse. La tension retombe. Les corps se mélange encore un peu pour faire durer ce moment d’extase.

La nuit drape Eva et Claude de plénitude paisible. Ils s’endorment blottis l’un contre l’autre.

Louis Levalac

Aidez ce petit cochon à rester en bonne santé.

Toi qui à les bourses en main. Lache une pièce ou deux si tu apprecie l'univers que je te propose.

Bises ! Louis Levalac

Tirelire en forme de cochon rose. Debout sur quelques pieces en or,
Tirelire en forme de cochon rose. Debout sur quelques pieces en or,