Capitaine La Gaule Le pseudo - Partie 2
L’homme qui était assis se lève. Un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt-dix, bâtit comme un pilier de rugby avec une barbe épaisse à la Ducktail.
CHUPA-CHUPS : Voici mon mari. Tout le monde l’appel ‘’ours’’.
— Je comprends pourquoi.
— Et tu vas comprendre pourquoi chupa-chups.
Chupa-chups invite Claude à s’assoir sur le sofa. Elle remonte sa jupe à franges au-dessus de ses fesses. Appuie ses pousses de chaque côté de ses hanches et les glisses adroitement entre sa peau et la dentelle de son string. Délicatement elle pousse vers le bas. Son string chute en glissant doucement le long de sa peau d’albâtre. La dentelle finit par tomber sur ses chevilles. Elle sourit à Claude avant de se retourner vers son mari en s’asseyant sur le sofa près de Claude. Doucement elle défait la ceinture et baisse la braguette du pantalon de son mari resté debout. A son tour le pantalon touche le sol. Puis le caleçon. Une bite énorme jaillie comme un diable de sa boite.
Chupa-chups la saisie de sa main gauche et commence à la branler avant de poser ses lèvres rouges dessus et de l’introduire délicatement dans sa bouche. Claude regarde la scène comme hypnotisé. Il ne sait plu s’il rêve ou si tout cela est bien réel. Chupa-chups le ramène à la réalité en se retournant vers lui et en lui disant avec un regard de louve affamée :
— A ton tour maintenant !
Elle s’agenouille sur le sofa à côté de Claude et procède comme avec son mari. Ceinture, braguette et diablotin en bouche. A quatre pattes maintenant, elle va et vient sur le gland gonflé à bloc de Claude, dans une cadence lente. Ours ne reste pas inactif. La croupe de sa femme relevée vers lui l’invite à la prendre en levrette. Il saisit de ses mains énormes et puissantes ses fesses et s’introduit en elle. L’énorme bite d’ours entre sans difficulté dans le vagin humide et dilaté par l’excitation. Il la pénètre sa femme doucement au début puis rapidement la cadence s’accélère. Chupa-chups suit le rythme avec la verge de Claude dans la bouche. Elle gémit et l’engloutit de temps à autres jusqu’à la garde.
Claude regarde autour de lui tous ces corps qui se balancent. Puis il se focalise sur cette chevelure blonde qui ondule sur sa bite. Alors qu’il commence à déboutonner sa chemise pour la retirer, une femme en costume d’écolière s’approche. Sans un mot elle pose son pied gauche sur le sofa et commence à se masturber face à Claude. Il n’en croit pas ses yeux. Son sang bouillonne d’excitation. Il finit d’enlever sa chemise et amène à lui l’écolière en la prenant par sa main restée libre. Elle se dresse alors sur le sofa en posant son autre pied entre le dossier et le corps de Chupa-chups. Son sexe est maintenant sur la bouche de Claude. Sans attendre il commence à titiller le clitoris gonflé de l’écolière avec sa langue. Un parfum sucré émane de la peau de sa nouvelle partenaire. Angel de Mugler. Il reconnait ce parfum pour l’avoir offert à l’une de ses ex-copines. L’écolière semble apprécier. Elle glisse ses mains dans la chevelure de Claude. Et d’un geste sans équivoque, invite Claude à introduire plus loin sa langue. Il se lâche, et bouffe littéralement la chatte de l’ingénue en l’agrippant par les hanches. Les connexions de plaisirs entre Claude et ces deux femmes rentrent en résonance. Chupa-chups commence à se raidir tout en gémissant de plus en plus. L’orgasme est proche. L’écolière commence elle aussi à montrer les signes d’une apothéose imminente. S’en est trop pour Claude. Bien qu’il se retienne pour prolonger le plaisir. Il finit par jouir intensément dans la bouche de Chupa-chups. Il sort son nez de l’entrejambe de l’écolière pour reprendre son souffle et observer si Chupa-chups avale son jus. Elle se redresse toujours culbutée par son mari et du revers de la main elle essuie le sperme de Claude qui s’écoule le long de son coup.
— j’adore ça !
A peine Chupa-Chups finit-elle son exclamation, qu’une autre bite se présente et entre dans sa bouche. Ours continu sa besogne pendant que sa femme jouit en engloutissant goulûment l’attribut virile d’un autre mal. L’écolière toujours en position re-concentre Claude sur elle.
LA CAVALIERE : Je n’en ai pas fini avec toi.
Elle pose un genou sur le sofa et à l’autre jambe à l’équerre. Elle branle la bite de Claude en la frottant sur sa vulve chaude. Sentant que le sexe de Claude maintient sa vigueur elle se l’introduit et s’installe confortablement à califourchon. Elle se cale pour avoir le gland bien profondément en elle là où il lui fera le plus d’effets. La cavalière commence à se déhancher et enroule ses bras autour du cou de Claude qui à son tour, saisi fermement les fesses de sa partenaire pour accompagner les mouvements de hanches. La cavalcade s’intensifie. L’écolière jouit en silence par une succession de spasmes qui déclenchent la décharge de sa monture.
— Quel pied ! Moi qui pensais avoir des difficultés pour jouir. Pffiou, tu m’as fait toucher les étoiles.
— Avec plaisir belle inconnue.
— C’est quoi ton pseudo ?
— Je n’en ai pas encore.
— Je suis nouvelle ici aussi. Depuis peu. Je ne savais pas si tu es un petit nouveau ou un membre que je n’avais pas encore vu.
— Et toi ton pseudo ?
— La cavalière. Tu sais, la position…
— Oui je vois. Une cavalière plutôt douée.
— Je n’ai pas grand mérite. Sans un bon cheval pas de belle chevauchée.
— Tous ces mouvements m’ont donné soif. On va boire quelque chose ?
— Plus tard peut-être. J’ai une autre idée en tête.
— Ah ! ok. Bonne continuation alors.
Claude saisi une serviette de la pile qui se trouve sur la table basse à côté du sofa. Il s’essuie avec attention avant de se lever. Il se dirige vers le bar, la gorge sèche. La lumière tamisée se reflète sur sa peau perlée de sueur. Ses muscles saillants, sa silhouette parfaite captent les regards et déclenche un ou deux orgasmes à son passage. On lui sert un grand verre d’eau et le boit d’un trait. Ours le rejoint au bar. Pour lui c’est un whisky glace.
— Alors cette première ?
— Et bien… Pour le dire en deux mots seulement. Surprenante et inoubliable. Je n’avais jamais encore vécu une expérience pareille. Et pour être honnête je n’avais jamais imaginé venir un jour ici.
— Comptant que cela se soit bien passé. La première fois, comme toutes les premières, c’est important. Si ça foire, dans la majorité des cas, que ce soit pour une femme ou un homme, c’est terminé. Elle ou il ne revient pas.
— Oui je comprends. Je peux me montrer indiscret et curieux envers toi ?
— Ça dépend. Pose toujours ta question.
— Comment toi et ta femme avez-vous eu l’idée de venir ici ?
— Longue histoire. Mais pas de problème, je vais te répondre. Pour comprendre il faut que tu saches que je suis boxeur professionnel. En MMA pour être précis. Je n’ai pas encore de titre. Mais je suis classé parmi les dix meilleurs du monde en poids lourds.
— Félicitations. J’avais remarqué ton physique hors normes.
— Je note que tu es sportif aussi.
— D’une certaine manière oui. Mais je t’en prie continu ton histoire.
— Oui, donc je voyage de rings en rings un peu partout en Europe. Et dans le reste du monde. Tu ne t’imagines pas le nombre de femmes qui tournent autour des boxeurs. J’ai très souvent été sollicité et j’ai rarement dis non. Et puis il y a deux ans après un combat gagné facilement à Londres. Une aristocrate m’a rejoint dans ma chambre d’hôtel pour passer une nuit torride avec un warrior. On a refait Waterloo. Et cette fois si c’est l’Angleterre qui est restée à genoux.’’
Les deux hommes éclatent de rire.
— Bref au petit matin ma femme a débarquée dans la chambre. Une surprise pour nos cinq ans de mariage. Avec l’Eurostar, Londres est à moins de deux heures de Paris…
— Aye. Mauvaise surprise pour tout le monde.
— Ouais. J’ai eu la peur de ma vie. Elle était la debout. Face au lit. Sans rien dire. Juste là à me regarder droit dans les yeux. L’aristo s’est rhabillée en dix secondes et à filer à l’anglaise. Revenant de ma stupeur, J’ai fini par demander à ma femme : ‘’ On fait quoi maintenant ? ’’ Elle m’a répondue : ''Habille toi et rejoins moi au resto de l’hôtel. Il faut qu’on parle’’.
Je pensais que se serais une discussion de rupture. Mais ma femme est plus intelligente que cela. Quand je l’ai rejoint, elle trempait une tranche de cake dans une tasse de thé. Je me suis assis face à elle. Elle m’a regardé en souriant et m’a dit d’une voix douce et calme : '' Je ne vais pas foutre en l’air cinq ans de mariages et nos projets pour une partie de jambes en l’air. Et toi mon chéri que ferais tu si tu étais à ma place ?''
J’étais perdu, sans voix, comme un môme qui s’est fait prendre le doigt dans le pot de confiture. Je ne savais plus où poser mon regard. Elle me dit : ‘’Chéri regarde-moi dans les yeux et écoute attentivement. J’ai moi aussi un corps. Une vie sexuelle et des fantasmes. Jusqu’à présent ma vie sexuelle se résumait à notre lit. Mon corps n’était réservé qu’a tes mains. Mes fantasmes je les refoulaient. Mais maintenant ça va changer. Alors voilà. Tu rentres dans deux jours. Et dans deux jours. Je vais organiser une soirée dans un club libertin. Non pas par vengeance. Mais parce que j’en ai envie. Et j’ai aussi envie que tu sois à mes cotés. Si tu es d’accords nous continuerons notre vie de couple. Si non, nous reprendrons nos chemins séparément chacun de notre côté.’’
Et voilà. Nous venons au Maka une fois par mois depuis deux ans. Nous avons établi quelques règles que nous respectons à la lettre. Et nous sommes très heureux comme cela.
— Une femme peu commune. Grâce à elle, vous avez trouvé un équilibre.
— Oui, nous avons développés une vraie complicité. Nous sommes plus soudés qu’avant. On a plein de projets en cours.
— Alors trinquons à vos projets et au Maka.
Les verres des deux hommes tintent. Autour d’eux les corps libérés de leurs tensions se relèvent peu à peu en se rhabillant. L’air est chargé du parfum des corps qui se sont mélangés. Claude retrouve son pantalon et sa chemise. Pendant qu’il se rhabille, les râles de quelques retards à terre raisonnent depuis l’autre pièce. Alors qu’il lasse ses chaussures, M’amie s’assied près de lui.
— Bienvenue au club mon petit. Nous allons te trouver ton pseudo.
— Et bien merci M’amie. C’est un honneur pour moi.
— Tu es vraiment charmant. Donne-nous encore une vingtaine de minutes, le temps que tout le monde soit prêt.
— Je suis à votre disposition.
Dans l’entrefaite Eva rejoint Claude prêt du piano.
— Alors c’était comment cette première ?
— Tu veux la version courte ou avec les détails ?
— Les deux. J’adore les détails.
— Et bien. Une soirée de folie. Je n’avais encore jamais été excité comme ça. J’ai jouie deux fois.
— Avec qui ?
— Chupa-chups et la cavalière.
— Ha pas mal. La cavalière ne chevauche pas n’importe qui. Et je sais ou t’avais ta queue quand tu as joui avec Chupa-chups.
— Ha ha, tu connais tout le monde. Et toi ? Je ne t’ai pas vu.
— J’étais dans l’autre pièce. J’ai eu un orgasme sympa. J’ai soulagé un gars et aider deux autres à finir avec leurs partenaires. Et cerise sur le gâteau j’ai déclenché un orgasme à une copine avec un vibromasseur.
— J’aurais bien aimé voir ça.
— La prochaine fois mon Apollon. Tu fais quoi après ?
— Je n’ai rien de prévu. Personne ne m’attend à la maison.
— Tu me raccompagnes ?
— Avec plaisir ma belle.
— Genial. J’aime bien me réveiller dans tes bras.
Au moment où Eva termine sa phrase, M’amie interpelle tout le monde en ayant pris le soin d’augmenter l’intensité lumineuse.
— Mes amis ! Mes amis. La soirée touche à sa fin. J’espère que vous avez passé un bon moment entre vous. Je vous réitère mes remerciements pour être fidèle au Maka. Sans vous, je serais bien seule. Je vous aime mes amis.
ASSEMBLEE : - Nous aussi on t’aime M’amie.
— Merci, merci. Bien ! Pour certains d’entre vous et surtout certaines, vous avez fait la connaissance de notre nouvel ami. Comme le veut notre tradition, je soumets à votre accord son entrée dans notre cercle. Donc ! Y a-t-il des membres contre ?
Un silence s’installe.
— Tout le monde est donc d’accord pour qu’il rentre ?
Les filles de l’assemblée s’agitent. Certaines chuchotent d’autres parlent plus fort :
— Oui oui. On le veux. — il rentre en moi quand il veux.
M’amie sourit en regardant vers Claude.
— Ok, ok les filles on se calme. Mon jeune ami soit le bienvenu parmi nous.
Claude s’incline légèrement en signe de remerciement.
— Bon maintenant le pseudo. Des suggestions ?
LA CAVALIERE : Fantôme !
M’AMIE : Fantôme ?
LA CAVALIERE : Oui le cheval de Zorro.
M’AMIE : - Je vois, je vois. D’autres idées ?
CHUPA-CHUPS : - Moi je trouve qu’il ressemble au super héros de ce film. Capitaine quelque chose.
EVA : Capitaine America.
CHUPA-CHUPS : Oui c’est ça !
M’AMIE : Nous ne sommes pas aux USA.
CHUPA-CHUPS : Ouais. On peut garder capitaine et ajouter autre chose.
LA CASTAPHIORE : - Bonne idée ! Vu comme il est bien membré et bien gaulé, pourquoi pas Capitaine la Gaule ?’’
Face à l’approbation générale. M’amie reprend la parole.
— L’idée de la Castafiore est amusante et bien trouvée. Mon petit tu en penses quoi ?
— Ca me va ! Je me range à l’avis général.
— Capitaine la Gaule tu es des nôtres.
Claude s’avance vers M’amie pour la remercier. Pendant ce temps les convives échangent des au revoirs. Les plus pressés quittent les lieux en saluant d’un geste de la main.
Eva discute avec le Marquis, puis l’embrasse affectueusement sur la joue pour lui dire au-revoir. Pendant que M’amie prend Claude par le bras pour le raccompagner au rez-de-chaussée.
Eva et Claude sortent du Maka. Ils marchent main dans la main sans dire un mot. Leurs corps sont lourds et la fatigue commence à se faire sentir. Ils montent en voiture et dix minutes après ils sont chez Eva. Une douche, un brossage de dents rapide et les deux compères sont au lit.
— Tu dois me trouver folle.
— Folle ? Non pourquoi ?
— Je t’ai amené dans un endroit que la morale réprouve.
— La morale s’arrange avec des choses bien plus grave que des gens qui font l’amour.
— Oui mais on fornique plus qu’autre chose.
— Pas faux ! Je suis bien placé pour te dire qu’à côté de la guerre, le Maka c’est la porte d’entrée pour le paradis. La guerre c’est plutôt le seuil de l’enfer. Et pourtant, les biens pensants ne sont pas nombreux à s’offusquer de la guerre.’’
Eva s’endort. La tête dans le creux de l’épaule de Claude.
— Bonne nuit mon ange.
Claude embrasse tendrement le front d’Eva. Il éteint la lumière et s’endort à son tour.
Louis Levalac
Aidez ce petit cochon à rester en bonne santé.
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Bises ! Louis Levalac
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