Les Bonheurs X de Sophie Le parfum - partie 3
Troisième partie
— Allo ?
— Nounours ! T’es où ? Le tournage commence dans un quart d’heure.
— Déjà ?
— Comment ça déjà ? Ça fait au moins quatre heures qu’on s’est quitté.
— Ok j’arrive !
Philippe arrive au petit théâtre. Il aperçoit de loin Sophie dans son ensemble en latex, sa cagoule sur la tête. Il hâte le pas en sa direction. Un grand costaud le stop dans son élan.
— Hep ! vous allez où ?
— Là-bas.
Philippe pointe du doigt Sophie.
— Désolez mais cette partie du théâtre est réservée aux acteurs et à l’équipe technique. Pour les spectateurs c’est dans les gradins que vous pouvez vous installer.
— Sophie ! Sophie !
Sophie entend les appels de son ami et en informe un homme. Ce dernier fait signe à l’agent de sécurité de laisser passer.
— Désolé Sophie je suis en retard.
— Philippe, voici Jean. Le metteur en scène.
— Bonjour Jean.
— Bonjour, bonjour. J’ai deux minutes pour vous briffer.
Règle une, pas de téléphone. Règle deux, pas de MST. Règle trois, au moment où tu envoies la purée, tu ‘’toc toc’’ la paroi pour avertir la dame qui te suce le nœud qu’elle va prendre une giclée. Compris ?
— Oui. Oui.
— Ok ! Tu dois signer ce document.
— C’est quoi ?
— Tu donnes ton nom. Tu déclares sur l’honneur que tu n’as pas de MST et que nous avons le droit d’utiliser les images de ta bite à des fins commerciales.
Philippe lit le document rapidement. Il prend le crayon que Jean lui tend. Au bas du papier il ajoute qu’il ne donne pas l’autorisation pour diffuser les images de son visage. Puis il signe. Jean tape dans ses mains.
— Votre attention s’il vous plait ! Le tournage commence dans cinq minutes. Je vous demande de bien vouloir prendre vos places. Dans le publique. Si vous avez une envie subite de sauter les uns sur les autres. Pas de problème. Mais faite le en silence ! La première qui bugle en prenant une bite, je la vire ! Ecoutez tout le monde. N’oubliez pas ! On diffuse en direct. Alors s’il vous plait, pas d’improvisations ! Tenez le rôle que vous avez accepté. Ni plus ni moins !
Sophie prend Philippe par la main. Et le conduit à sa place.
— Tu as failli louper ta turlute nounours.
— J’ai passé beaucoup de temps avec un partenaire potentiel. Je n’ai pas vu l’heure tourner.
— Mince j’espère qu’il ne t’a pas vidé les bourses ce partenaire !
— N’importe quoi. Si tu voyais avec qui j’ai discuté… Mais bref. Je fais quoi maintenant ?
— Comme le gars à côté. Tu sors ton engin et tu le passe dans le trou devant toi. S’il est trop haut tu as un marchepied.
— Pas besoin du marchepied. Cependant un petit coup de main pour bander ce n’est pas de refus. Parce que là, je ne suis pas vraiment en condition.
— Qu’est ce qui se passe nounours ? Tu es stressé ?
Sophie s’accroupie, défait la ceinture du pantalon de Philippe, baisse la braguette et le fait tomber aux chevilles. Elle en fait autant avec le boxer. De ses doigt fins et manucurés elle saisit délicatement le sexe de son ami. Elle le branle doucement. L’embrasse et le flatte. L’effet escompté se produit. La bite de Philippe gonfle. Sophie ne s’arrête pas. Elle veut un bâton de dynamite prêt à exploser. Pas d’une nouille à peine cuite. Elle gobe d’un trait le chibre en train de se réveiller. La sensation chaude et moelleuse de la bouche gourmande de Sophie excite Philippe. Elle commence des mouvements de tête puis s’arrête.
— Tu es prêt nounours. Allez hop, en position. Je te rejoins de l’autre cotés au signal de Jean.
Le gars qui occupe le trou suivant celui de Philippe interpelle Sophie avec sa bite à la main.
- Ma grande. J’aime pas ta tête, mais ton cul est michto ! Ma bite est à toi quand tu veux.
Sophie considère le mufle.
— Fais-moi signe quand elle aura pris dix centimètres.
Eclat de rire général des autres gars qui n’avaient rien d’autres à faire que d’observer la scène. Ils sont cinq hommes le cul nu plus deux techniciens. Sophie s’arrête au second et lui chuchote à l’oreille.
— En revanche la tienne je grimperais bien dessus.
— Après le tournage si tu veux.
— Je suis comme cendrillon. Après l’heure c’est trop tard. Mais pendant l’heure je saute sur tout ce qui m’intéresse.
— A ton service Cendrillon.
Jean fait signe aux actrices d’entrer en scène. Elles sont cinq aussi avec Sophie. Elles sont toutes superbes. Habillées de façons super sexy. Sophie est la seule vêtue en BDSM. Elle produit son petit effet dans les rangs des spectateurs. Elle va à la place qui lui a été confiée en longent le mur de bites. Etant à la dernière place, c’elle ou l’attend Philippe, elle est la première à sortir. Elle en profite pour donner une petite tape amicale sur tous les dards au garde à vous qui se dressent sur son passage. Jean apprécie modérément. Il n’aime pas les initiatives des acteurs qui tournent pour lui.
— Je sens qu’elle va nous enmerder c’elle là.
A chacune des places qu’occupent les filles il y a deux caméras qui filment à la verticale. Une en contre plongée. Et une en plongée. Une autre caméra fait des travelings en arrière-plan. Les autres filles sont maintenant en places. Sophie et ses copines sucent, gobent, avalent les bites de leurs partenaires respectifs. L’une des actrices se démarque plus que les autres en avalant jusqu’à la garde le chibre de son partenaire. Une gorge profonde se réjouit Jean. Il demande à son cadreur un focus sur elle avec la caméra de traveling. Il fait incruster les images des deux autres caméras fixes. La petite blonde aux yeux bleus est habillée en chaperon rouge version super chaude. Jupe rouge hyper courte. Pas de culotte. Chemisier de dentelle blanche transparente qui laisse transpercer deux tétons pointus au bout de seins ronds et durs comme deux fruits en train de murir. Elle se tient accroupie sur une paire de bottine blanche vernie à talons hauts. Ça façon d’aller et venir sur ce sexe généreux qui sort du mur, impressionne. Dans le publique, des gars commencent à se palucher. Bientôt suivi par des filles bien remontées par le spectacle.
La nymphette qui se trouve sur la droite de Sophie est la première à prendre une décharge de foutre. Au signal du gars elle sort la bite de sa bouche. Jean à l’affut de ce moment. Envois son traveling et active ses deux caméras fixes pour filmer et diffuser le moment en direct. La fille branle avec énergie la bite joufflue au-dessus de sa grosse poitrine. Ces bracelets d’or et d’argent s’entrechoquent sur son poignet et bâtent la mesure dans un tintement métallique. Deux grosses giclées de sperme finissent par venir s’aplatir sur le buste de la fille. Le liquide coule le long de ses seins puis de ses hanches avant de finir en petites flaques au sol. La fille se relève et rejoint les coulisses dans une démarche chaloupée. Jean fait signe à un technicien pour que le spot qui éclaire la place devenue vide, s’éteigne.
Elles sont encore quatre en action. Mais déjà le gars qui cogne dans la gorge du petit chaperon rouge frappe le mur en bois, frénétiquement. Jean recadre ses caméras sur la belle qui continu ses mouvements. Elle accompagne l’éjaculation du grand méchant loup sans broncher. Elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Se relève et se retourne vers le publique. Elle ouvre la bouche et tire la langue pour prendre à témoin tout le monde de son petit exploit. Les mecs dans le public n’en peuvent plus. Ils applaudissent et sifflent. Jean grince des dents. Il contact son ingénieur son.
— Quelle bande de ploucs ! Tu peux faire quelque chose pour réduire le son ?
— Oui, je suis dessus !
— Travailler en public c’est vraiment galère !
Le chaperon rouge quitte la scène et la lumière s’éteint sur sa place.
La quatrième et la troisième place étant vide, Sophie a maintenant le champ libre pour voir ce qui se passe sur sa droite. Elle voit avec satisfaction que la queue qui l’intéresse reste dans la course. Une petite beurette habillée en Shéhérazade sexy, s’active pour en extraire la quintessence. Tout en finesse, la perle d’orient est un petit gabarit. Elle a du mal à encaisser le gros gland qui lui a été confié. Sophie appelle sa voisine.
— Psss. Pssss.
— Quoi ?
Jean qui a ses caméras pointées sur la première pompeuse, observe le manège de Sophie sur ses écrans de contrôles.
— Elle fait quoi la pétasse en latex ?
Sophie continue.
— On échange ?
Shéhérazade qui commence à avoir des crampes aux maxillaires évalue la taille de l’engin que Sophie lui propose.
— D’accord.
Jean éructe dans son micro ouvert à ses seuls techniciens.
— Mais elles font quoi les bécasses ?!!
— Elles échangent leurs places chefs.
— Mais bordel ! Pourquoi elles font ça ?!!
— J’sais pas chef !
Sophie a passé la journée à calmer et refouler ses pulsions. Autant dire que la journée a été longue tant les friandises et autres grosses tentations furent nombreuses à s’exhiber sur le chemin de sa promenade. Elle a la vulve qui crie famine. Sophie a bien l’intention de lui servir le plus gros et le plus savoureux des repas du salon. A mesure qu’elle s’approche de l’objet de sa convoitise, elle sent son bas ventre s’impatienter. De son coté, Philippe se demande pourquoi sa bite prend la température de l’air ambiant.
— Sophie ? Sophie, tu es la ?
Pas de réponse. Mais la chaleur d’une bouche lui réchauffe le gland.
— Pendant un moment j’ai cru que tu étais partie.
Sophie pose ses fesses sur la paroi du mur et offre son sexe dilaté à la grosse bite qui trépigne. La position n’est pas aisée. Mais une fenêtre de tir s’ouvre au gros gland qui l’empreinte sans tarder. Enfin ! Sophie sent que quelque chose de gros, de dur et de masculin rentrer en elle. Elle se mord les lèvres de plaisir. La bite se fraie un chemin. Sophie pose ses deux mains sur ses genoux et plaques ses fesses contre le mur le plus fortement possible pour aider l’heureux propriétaire de l’engin qui la pénètre, d’aller de plus en plus profond.
Jean de son côté fulmine. Il n’avait pas prévu une pénétration dans son scénario. Il voulait que de la pipe. De la turlute. De la suce. De la gorge profonde. Du foutre dans la bouche. Du sperme sur le visage. Bref une vidéo en phase avec tous ces mots clés pour un référencement ‘’pure’’ sur le site.
— Elle s’envoie en l’air et fiche tout mon boulot par terre ! Quelle conne !
Jean appel son boss. Et explique la situation.
— Calme toi Jean. Récupère le coup avec le direct. Balance un message. Nymphette BDSM se fait défoncer en Glory Hole. Et on voit si l’audience réagit.
Jean trouve l’idée excellente et retrouve son calme. Il branche les caméras sur Sophie qui s’éclate. Le gars derrière Sophie sent qu’elle en veut. Ça l’excite ! Il la pistonne avec une telle puissance que le décor tremble à chaque coup de reins. Sophie contre balance son corps pour maintenir la fougue du gars derrière elle. Jean fait envoyer des bannières de pubs sur tous les sites partenaires du salon.
— Voyons si tu plais au public. Les gars ! Si on n’a pas d’audience dans les trente secondes ont la découple avant l’orgasme. Ça lui fera les pieds à cette chieuse.
— Bonne vanne patron !
Philippe commence à être agacé de se prendre le décor sur le front toutes les secondes. Shéhérazade imperturbable continue sa besogne. Le portable de Philippe vibre et indique l’arrivée d’un mail. Il sort le téléphone de sa poche et active l’écran.
// Votre jeu m’a plu. Je suis acheteur. Donnez-moi votre prix. Nous règlerons tous les détails par mail. Cdt Lutin GM//
Philippe explose littéralement de joie et libère instantanément sa semence dans la bouche de Shéhérazade sans l’avoir prévenu. Elle reçoit une grosse giclée au moment où elle reprend sa respiration. Elle avale de travers, s’étouffe et crache ce qu’elle peut en toussant pour reprendre son souffle.
Jean se frappe le front avec la paume de sa main.
— Non mais regarder moi cet abruti ! C’est quoi ce bordel aujourd’hui ?!! Il ne nous manque plus qu’une hystérique dans le publique et la boucle est bouclée.
C’est à ce moment précis que des cris stridents montent depuis les gradins.
— Ok ! vous savez quoi les gars je me casse ! Les amateurs ça me gonfle !
— Attendez patron ! Regardez l’audience décolle. On a plus de cent milles connexions en direct. Et sa grimpe !
— Fait voir ! Ah la vache ! Bon ok. On continu sur latexgirl. Le gars qui la tamponne on peut diffuser son visage ?
— Oui c’est un acteur.
— Super ! Enfin une bonne nouvelle. Tu m’envoie une caméra à l’épaule filmer son exploit. Et tu lui dis de ralentir pour avoir le temps de faire un gros plan sur ses couilles qui battent le mur.
— Ok !
Shéhérazade vocifère des jurons dans un langage que Philippe ne comprend pas. Il saute de joie sur place, son pantalon sur les chevilles.
Sophie sent que le plaisir se répand en elle avec d’autant plus d’intensité qu’il a été refoulé toute la journée. Elle ne retient plus rien et un orgasme d’une rare puissance dévale le long de son système nerveux depuis son sexe jusqu’au cerveau en passant par les moindres recoins de son corps. Elle a eu ce qu’elle voulait. Reput elle quitte le mur et rend sa liberté au gland qui se nichait au plus profond de son intimité.
— Hey ! Tu vas où ?? Je n’ai pas fini.
— T’es droitier ou gaucher ?
— Droitier pourquoi ?
— Alors utilise la pour jouir. Parce que moi j’en peu plus de cette position.
Une fille du publique complètement nue. Sort d’une rangée de sièges et se précipite vers la bite laissée pour compte par Sophie. Elle pointe son cul sur le gros mandrin et s’empale à son tour dessus.
Sophie profite de ce moment pour s’éclipser avec Philippe. Ils retournent rapidement au stand où Sophie s’était entendue avec le vendeur pour se changer.
Jean vocifère de plus belle depuis sa régie malgré un score d’audience extraordinaire.
Latexgirl la débauchée cède sa place à Sophie la fille normale. Elle s’est changée et a retrouvé Philippe.
— Tu en pense quoi nounours on rentre ?
— Oui. Tu as faim ?
— Une faim de loup.
— Je t’invite. Et on boit du champagne ! J’ai un contrat en or qui m’attend !
— Mince nounours, c’est génial ! Tu vas me raconter ça. Parce que j’ai loupé un épisode.
— Ok. Allez. On y va.
Sophie et Philippe savourent leur soirée de bonne humeur malgré le fait qu’à la fin de c’elle ci, ils ne se reverrons certainement pas avant un bon moment. Mais l’histoire peu commune qu’ils viennent de vivre a créer un lien.
Louis Levalac
Aidez ce petit cochon à rester en bonne santé.
Toi qui à les bourses en main. Lache une pièce ou deux si tu apprecie l'univers que je te propose.
Bises ! Louis Levalac
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