Maîtresse Santa Le commencement
Si je me souviens comment ma nouvelle vie a commencée ? Hummm, comment l’oublier ?
Je pourrais tout te raconter en détails, mais tu n’as peut-être pas envie d’entendre mes états d’âme. Pour faire simple disons que la rupture avec mon mari ne s’est pas très bien passée. Si tu as eu un divorce difficile dans ta vie, tu vois de quoi je parle. Rupture d’autant plus compliquée que mon ex-mari est le Père Noël.
Et oui ! le Père Noël existe ! Et je peux te confier qu’il ne passe pas tout son temps à fabriquer et distribuer des jouets aux morveux du monde entier. Papy entretien son sapin et se le fait astiquer aussi souvent que possible. Crois moi, lorsque je te dis qu’il sait où habitent toutes les nymphettes de la planète. Elles lui écrivent dans leurs rêves les plus le chauds, tous leurs désirs inavouables et inassouvis.
De plus, papi a une place réservée dans tous les carrés VIP des bordels du globe. Très très actif notre petit vieux et pas si sympathique que cela. Il m’a répudié après qu’un sale petit lutin trouva amusant de mettre sur Porn Hub une vidéo dans laquelle je m’envoie en l’air avec le Père Fouettard. Quand il a vu la vidéo, papi était furieux.
— Mais quelle image tu donnes de moi ?!! La femme du Père Noël qui se fait tringler ! Par le Père Fouettard en plus !! Je vais être le sujet de moquerie dans tous les cercles d’anges du royaume !… …Pour sauver la face, je n’ai pas d’autres choix que de te répudier sur le champ !
—Tu ne peux pas me faire ça ! Tout le monde connaît tes aventures chez les mortelles !!
— Moi c’est différent !
— Pardon ?! Parce que tu es un homme ?! C’est ça ?! Les mecs peuvent se vider les couilles comme bon leur semble, mais les femmes non ?!
— Exactement ! Vous n’avez pas de couilles !
— Ce n’est pas drôle !!
— Quand je prends le cul d’une femme, mon exploit ne circule pas sur le net ! Et je ne saute pas ta pire ennemie ! Alors tu prépares ta valise et tu quittes le cercle polaire immédiatement ! Tu choisis ta destination et Tornade va t’y déposer.
— Mais ! Si je sors du cercle polaire je vais perdre mon immortalité !! Je ne serais qu’une simple mortelle parmi les hommes.
— Il fallait y penser avant ! Tu as une heure !
Qu’il fut furieux, je peux le comprendre. Mais me chasser de la sorte ! En pleine nuit à six mois de Noël. C’était excessif ! Tout ça à cause de ce maudit lutin Lèchebol. Il ne perd rien pour attendre celui-là ! La vengeance est un plat qui se mange froid. Dans son cas je ferais une exception. Je le mangerais tout chaud ! Non mais quel salop ! Il n’a pas supporté que je me tape tous les lutins sauf lui. Je n’aime pas les bites négligées. Ce n’était pourtant pas compliqué de prendre une douche avant de venir me voir. Non d’une pipe !
Malgré tout, quand j’y repense, que de bons souvenirs avec ces lutins. Il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre. Des petits queutards toujours prêts à fourrer leurs dards ardents dans tous les trous. Le plus vicelard d’entre tous et mon préféré c’était Godemiché. Oui tu entends bien. Tous les didos du monde c’est à lui que nous les devons. Un esprit fertile pour créer toutes sortes d’objets de plaisirs réservés aux femmes. Jamais à court d’idées nouvelles pour nous faire jouir intensément. Je lui ai servie de cobaye plus d’une fois. Sa dernière invention est un petit bijou de technologie. ‘’Le casque 3D super baise’’. Le nom de son dernier joujou ne brillait pas par sa poésie et le service marketing le renomma en ‘’Virtual Xpérience’’. L’idée de faire virtuellement l’amour avec le mal de tes rêves, c’est top ! Comment cela fonctionne ? Le casque leurre ton cerveau avec des images de synthèse en UHD pendant qu’un super gode articulé réglable électroniquement, en long en large et en travers, plonge en vas et viens dans ta chatte ou ton cul, si tu préfères. Une technologie de pointe qui m’a fait jouir avec tous les plus grands acteurs du moment. Un vrai régal ! Lors des essais, il ne s’ennuyait pas non plus mon petit Godemiché. Son truc pour bander c’est de mater une femme entrain de jouir. Ceci expliquant cela… Bizarrement, il ne tenta jamais de me pénétrer. Il préférait s’astiquer le manche et lâcher la purée partout sur mon corps. Tantôt sur mes fesses, tantôt sur mes seins. Son endroit préféré. Mes pieds. Qu’est-ce qu’il a pu jouir sur mes pieds celui-là. Le fétichiste le plus déjanté que je connaisse.
Je te passe les détails avec les autres lutins et nos petits gangs bangs de folies. Comment ? Tu veux les détails ? Tu es vraiment incorrigible. Une autre fois peut-être, j’ai des très mauvais garçons à aller punir. Le temps passe vite…
Cependant je vais évoquer Le lutin Ravineur. Parceque finalement si j’ai tapé dans l’œil du Père Fouettard et si ce dernier m’a sauvé de la déchéance qui m’était promise, je dois bien admettre que c’est grâce à ce petit niqueur de Ravineur. Son truc à lui ce sont les gorges profondes. Avant lui, je n’étais pas vraiment adepte de cette pratique. Un jour ou je me faisais du bien toute seule avec l’une des inventions de Godemiché, Ravineur me rejoignît dans le salon. J’étais allongée sur le sofa. Il me demanda de venir positionner ma tête en arrière sur l’accoudoir. Il sortit son engin de petite taille et le fourra jusqu’à la garde dans ma bouche. Il me pistonna la gorge dans cette position. Ses petites couilles rebondissaient sur mon nez et je trouvais ça amusant. Le petit goujat éjaculât sans prévenir. J’ai failli m’étouffer avec son sperme. Il s’excusa benoîtement et j’ai passé l’éponge. On a remis ça de nombreuse fois. J’ai peaufiné ma technique pour lui procurer un maximum de plaisir et prendre son jus sans tousser tout en me faisant jouir. Quel pied !
Et puis un jour de gorge profonde, le Père Fouettard vint sans prévenir. Papy parti en voyage, il n’y avait personne pour le recevoir. Ayant un sixième sens pour détecter les vilains garçons et les vilaines filles, il sut ou nous trouver mon lutin et moi. Sans bruit il sortit son fouet et d’un coup cinglant et sec, il fouetta le cul de Ravineur. La douleur aussi soudaine qu’inattendue qui traversa le corps de mon petit lutin la fit éjaculer instantanément. Il couinait comme un petit porcelet. Le Père Fouettard l’agrippa par le coup et l’envoya valdinguer.
— Rhabille toi et hors de ma vue ! Misérable petite chose !
Ravineur les yeux mouillés, s’exécuta et quitta la pièce en courant. Je restais sans voix mon dido profond en moi. La tête à l’envers, j’observais le père fouettard baisser sa braguette et sortir sa grosse queue.
— Reste comme ça ! Tu m’excites !
Sa bite dans la main gauche et son fouet dans la main droite, il vint à moi et j’ouvris la bouche en grand. Je n’avais pas envie de prendre un coup de fouet.
Surtout, le chibre énorme qui s’approchait me mit en appétit. Cela faisait un moment que je n’avais pas vu un calibre pareil.
Gérer le petit engin de Ravineur ne me posait pas de difficultés particulières. Mais avec le père fouettard, la chose était plus compliquée. Je m’efforçais d’oublier la taille des couilles qui me martelais la tête à chaque coup de buttoir. J’essayais d’oublier le flot de semence qu’elles pourraient bien libérer. Il lâcha son fouet et de son long bras entrepris de me masturber. L’excitation atteignait son comble pour lui comme pour moi. Je jouis la première. Il me suivit de peu. Et à mon grand étonnement je pu avaler le nectar de son corps par petites gorgées. L’entraînement avec le petit lutin avait finalement porté ses fruits.
Il se rhabillât alors que je restais nue sur le sofa. Je l’observais en me disant que j’aimerais bien de nouveau jouir avec ce beau mal viril.
— Tu es plutôt douée. La prochaine fois tache de me lécher couilles lorsque je jouis au plus profond de ta gorge.
— D’accord. Ça veut dire qu’on va se revoir ?
Il ne répondit rien. Endossa son grand manteau noir, vissa son chapeau sur sa chevelure ébène et brillante. Sans même un regard vers moi, il disparut en lâchant un ‘’A bientôt’’.
Quel homme ! On s’est revu plusieurs fois. Un jour bien avant le soir de mon départ du cercle, il me donna une bague en me disant :
— Viendra le moment où tu auras besoin de moi. Rends-toi sur la berge des trois rivières. Cette bague te montrera la voie. Tu devras bien réfléchir avant de franchir le pont. Car si tu le fais, tu deviendras mon esclave pour l’éternité.
Sur le moment je n’avais rien compris. Sur le moment seulement.
Aujourd’hui, je suis l’esclave du Père Fouettard. Ne crois pas que j’en soit triste ou que j’en souffre d’une quelconque manière. Bien au contraire. J’adore mon rôle de chienne lubrique. Être à son service et répondre à toutes ses exigences sexuelles ou non, me comble de bonheur. Et finalement je me sens plus respectée avec lui que je ne l’étais avec papi.
Les esprits chagrins dirons qu’un fouet c’est moins drôle qu’un traîneau. C’est un point de vue. Que je ne partage évidemment pas. Surtout qu’à force de coups de langues sur ses bourses pendant qu’il envoie la purée dans ma gorge, j’ai fini par obtenir son plus haut degré de confiance. Je suis devenue son pendant féminin. La nuit de Noël et une semaine avant, comme le Père Fouettard, j’ai le droit de sévir et de punir les méchants garçons et les vilaines filles. Avec mon fouet bien sûr mais pas seulement. Et ces moments magiques, je vais me faire un plaisir de les partager avec toi.
Louis Levalac
Aidez ce petit cochon à rester en bonne santé.
Toi qui à les bourses en main. Lache une pièce ou deux si tu apprecie l'univers que je te propose.
Bises ! Louis Levalac
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